Voyages d’affaires au bout du monde – Un filet de sécurité pour votre prochaine aventure
Connu pour son passé trouble et ses temples uniques au monde, le Cambodge a longtemps été considéré comme un lieu réservé aux plus téméraires (Indiana Jones s’y est aventuré, tout comme Lara Croft). Mais ces vingt dernières années, le tourisme s’est développé et près de 2,5 millions de personnes visitent chaque année le complexe monumental abritant le temple d’Angkor Wat. Le reste du pays reste par contre largement méconnu.
S’aventurer hors des sentiers battus
La région de Siem Pang, qui compte près de 13 000 habitants, se trouve à environ 8 heures de route d’Angkor Wat, le long de la frontière laotienne. Elle se compose de nombreux petits villages constitués de maisons en bois. Ici, l’électricité se fait rare et il n’y a pas d’eau courante. Les coqs et les buffles vivent en totale liberté et les villageois pêchent des grenouilles pour se nourrir et se baignent dans le Tonle Kong, un affluent du Mékong. À première vue, cela peut sembler pittoresque, mais la vie y est particulièrement difficile.
C’est là que s’est retrouvée Sophie, coordonnatrice en responsabilité sociale pour une entreprise manufacturière, les pieds couverts de poussière, à l’arrière d’un camion qui l’emmenait visiter l’infrastructure d’irrigation que l’entreprise pour laquelle elle travaille parrainait dans la région.
Aussi loin de chez elle, Sophie aurait pu craindre pour sa sécurité. Mais avant de quitter le pays, elle avait installé le Navigateur voyageMD sur son téléphone, une application mobile lui permettant de rester en contact direct avec son bureau, peu importe où elle se trouve. Une sorte de bouée de sauvetage avant de plonger dans l’inconnu.
Un déplacement professionnel peu banal
Sophie travaillait sur ce projet depuis des mois. Elle communiquait régulièrement avec une ONG sur le terrain afin de bien comprendre les besoins des villageois et rédigeait régulièrement des mises à jour pour l’infolettre de son entreprise.
« C’est ce que je préfère dans ce métier », dit Sophie. « J’ai vraiment l’impression de donner au suivant ». Quand on lui a proposé d’aller sur le terrain pour constater l’avancement du projet, Sophie a sauté sur l’occasion.
Sachant très bien que la région était particulièrement isolée, Sophie s’est équipée : répulsif anti-insectes, tablettes de purification d’eau et chargeur solaire pour son téléphone. Elle a également consulté le responsable des ressources humaines, Phil, pour savoir si elle devait se faire vacciner contre certaines maladies.
Après avoir regardé de plus près la couverture internationale de l’entreprise, Phil a expliqué à Sophie que le Navigateur voyageMD était inclus dans le forfait, et qu’il regorgeait d’informations extrêmement utiles sur les risques sanitaires potentiels de la région.
« On avait surtout peur du paludisme », déclare Phil. La maladie est présente au Cambodge, mais le niveau de risque varie considérablement d’une région à l’autre, et d’une année sur l’autre. Malgré une tendance plutôt à la baisse, deux fois plus de personnes sont tombées malades en 2017, comparativement à 2016. « Nous nous sommes aperçus que lors de la saison sèche, le risque était assez faible dans le nord-est du pays », explique Sophie. « J’ai donc décidé de ne pas prendre d’antipaludéens ».
Mais Phil a été surpris de découvrir une autre menace : la rage, qui tue environ 800 personnes par an au Cambodge. « C’est une maladie mortelle, et dans une région aussi éloignée que celle-ci, se faire soigner en urgence peut être difficile », explique Phil. « Nous avons donc conseillé à Sophie de ne prendre aucun risque et de se faire vacciner ».
Son chargeur solaire en main, Sophie s’est envolée.
L’obligation de diligence, l’autre responsabilité de l’entreprise
Le Navigateur voyageMD a permis à Sophie de partir en étant rassurée, mais il a également aidé Phil à s’acquitter de son devoir de diligence. « Même au bout du monde, il est de notre devoir de nous assurer que Sophie dispose d’un environnement de travail sécuritaire », explique Phil.
Le tableau de bord en ligne de l’application a permis à Phil de savoir précisément où se trouvait Sophie tout au long de son voyage. « En cas d’urgence, je pouvais contacter quelqu’un au bureau en appuyant simplement sur un bouton », explique Sophie, « et eux pouvaient me contacter à tout moment ».
Jamais trop prudent
Au bout de quatre jours sur place, Sophie a commencé à avoir de la fièvre. Ne voulant prendre aucun risque, elle a décidé de consulter, mais ne souhaitait pas se rendre à la clinique locale, qu’elle avait aperçue sur la route en arrivant. « Disons que… ça ne m’inspirait pas vraiment », dit-elle en riant. « J’ai donc mis en marche mon chargeur solaire et consulté le Navigateur voyageMD ».
L’application lui a fourni une liste des cliniques de la région qui pourraient la soigner et elle a pu voir un médecin le jour même. C’était une fausse alerte, heureusement, elle était juste un peu déshydratée. « Ils m’ont administré une solution saline par intraveineuse pendant quelques heures et j’étais de nouveau sur pieds, comme un poisson dans l’eau », raconte Sophie.
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https://www.phnompenhpost.com/business/ticket-revenue-angkor-wat-jumps-72-percent-after-price-hike(en anglais)
http://www.xinhuanet.com/english/2018-02/23/c_136993892.htm(en anglais)
https://www.who.int/malaria/publications/country-profiles/profile_khm_en.pdf(en anglais)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5014264/(en anglais)
https://biv.com/article/2018/06/business-traveller-duty-care (en anglais)